Que font les candidats de Top Chef entre deux tournages ?
Les cuistots de Top Chef sont bien plus derrière les fourneaux qu'on ne le pense. Une réalisation de plus de 6 semaines et des journées ultra remplies : que peuvent bien faire les cnadidats de Top Chef entre deux tournages ?
Loin de simplement rythmer notre soirée du mercredi, les têtes toquées, toujours en quête de la prouesse culinaire ultime, s'affairent en cuisine du lever du jour à 6 heures 30 jusqu'à la tombée de la nuit à 22 heures, et cela durant 6 semaines ! Les participants, même s'ils mettent leur vie privée entre parenthèses, n'en demeurent pas moins de véritables épicuriens à l'esprit de camaraderie sans bornes. Une question nous taraude : quelles sont les activités des "machines de guerre" entre deux claps et à l'extérieur du studio ? Avis aux friands de potins gourmets, on vous dévoile l'envers du décor.
Un esprit colonie de vacances
Durant les creux entre deux prises d'une même épreuve, exit le téléphone portable et la télévision ! "On a des fauteuils et des prises mais pas de télévision ni de téléphone portable", exprimait Mory Sacko (candidat de la saison 11) à nos confrères du Figaro.fr. Pour éviter toute fuite, on se contente donc des plaisirs simples de la vie entre camarades, avec des jeux de cartes et même des séances sieste ! Et côté perfectionnistes et premiers de la classe, il arrive, quand l'étau se resserre, que les cuisiniers s'entraînent en dehors des épreuves en apprenant de nouvelles recettes.
Encore plus avec la crise Covid-19, les 15 candidats ont noué des liens d'amitié indéfectibles. A l'accoutumé autorisés à décompresser en rejoignant leurs proches le week-end, voire en festoyant le soir entre eux, les candidats se sont vus confinés dans un hôtel prêt du studio d'octobre à décembre. Matthias Marc, figure emblématique de cette saison, nous confiait qu'" être confiné durant le concours a permis de créer une complicité sans la moindre altercation". La membre du jury Hélène Darroze, au cours d'une interview pour le HuffPost, parlait d'"une atmosphère de solidarité et de respect qu'on a rarement vue".