Cuisiner au vin : lequel choisir ?
De nombreux grands classiques de la gastronomie française incluent du vin dans leur recette. Si la boisson est un ingrédient souvent magique, gare à ne pas le cuisiner n'importe comment. Morceaux choisis.
Pour les recettes simples, des vins simples
Des vins précis pour des recettes exquises
Certaines recettes supposent l'utilisation d'un vin en particulier. Si vous feuilletez un livre de cuisine, vous verrez qu’il y a un point commun entre toutes ces recettes : elles indiquent un vin très typé. En effet, si la plupart des vins se ressemblent en fin de cuisson, certains ont des particularités gustatives tellement uniques que celles-ci résistent à la cuisson et les rendent irremplaçables dans un plat ! Ces vins sont les vins mutés, Porto en tête, sans lequel vous ne pourriez envisager de préparer un bon médaillon de veau au Porto. Même constat avec le puissant vin jaune du Jura sans lequel il serait impensable de préparer votre souris d’agneau confite au vin jaune. De même, votre poularde comtoise aux morilles vous paraîtra bien fade si vous la préparez au vin blanc “spécial fruits de mer” à la place d’un bon vin jaune. Dernier exemple mais non des moindres : le Cahors. Ce vin du sud-ouest est principalement élaboré à partir du cépage malbec, un cépage particulièrement tannique et épicé qui ne souffrira pas dans certaines recettes d’être remplacé par un petit vin fruité sans structure, par exemple dans un civet de canard au Cahors. Vous pourrez découvrir plus de ces vins très typés lors d’un de nos chouettes cours d’oenologie ou même les recevoir chez vous grâce à notre abonnement vin par mois. Pour conclure, vous pouvez aussi essayer de revisiter vos recettes simples avec ces vins très typés pour les redécouvrir sous un jour nouveau et surprendre vos convives.