"On divise ?" Voici comment partager (vraiment) équitablement l'addition au restaurant
Seul.e à ne pas boire à table ? Votre voisin.e a pris du caviar en entrée alors que vous avez raisonnablement choisi une salade ? Ne vous faites plus avoir au moment de payer l'addition au restaurant.
"On divise ?" lance votre ami qui a pris – une fois de plus – le menu le plus cher de l'addition. "Bien sûr !" avez-vous gentiment répondu alors que vous avez seulement commandé le plat du jour… Combien de fois avez-vous fermé les yeux sur un partage inéquitable de l'addition après un dîner ? Cette époque est révolue : voici comment diviser une addition vraiment équitablement tout en respectant les règles de bienséances.
Comment diviser l'addition si une seule personne ne boit pas ?
Si sur une tablée de 10 personnes, seulement une ou deux personnes sont restées à l'eau, le bon réflexe est de demander une addition séparée pour la nourriture et pour l'alcool. Ainsi, les buveurs sentiront d'eux-mêmes qu'ils doivent exclure les non-buveurs de l'addition des boissons au moment de payer !
Comment diviser l'addition si une seule personne boit ?
Ici, la question ne se pose pas, la personne qui a bu paye sa consommation ! Le calcul le plus simple est de diviser le coût global par le nombre de convives en retirant la partie boissons, que le buveur prendra à sa charge seul.
Comment diviser l'addition lorsque tout le monde partage les plats, mais qu'une personne mange sans gluten ou sans viande ?
Dans cette situation, il vaut mieux ne pas compliquer les choses : laisser la personne soumise à un régime particulier payer ses plats en premier et diviser le reste de l'addition avec les autres convives. En effet, celle-ci pourrait se sentir lésée si elle a mangé un maigre plat de légumes ou de salade alors que vous dévoriez une côte de bœuf ou des pizzas !
Comment diviser l'addition lorsque l'un des convives commande des plats beaucoup plus chers que les autres ?
Celui ou celle qui a commandé du caviar en entrée et du homard en plat se doit de payer la différence. Si la personne n'a pas le tact de payer son menu d'elle-même, faites-lui subtilement remarquer l'écart de prix. Par exemple, en évoquant le fait que, vous aussi, vous auriez aimé goûter le homard, mais que ce n'était hélas pas encore dans vos moyens.