Un trésor de 100 000 meules

Lorsque l'on rentre dans une cave d'affinage, la première impression qui nous saisit est olfactive. Une forte odeur d'ammoniac due au gaz qui s'échappe des fromages pendant le vieillissement nous prend au nez. Puis assez vite, on s'habitue et là, ce sont les étendues de rayons de meules qui nous impressionnent. 36 fruitières travaillent avec le Fort Saint-Antoine. On peut apercevoir que la teinte d'un fromage varie en fonction de sa fruitière d'origine. 
©  Cécile Debise/Journal Des Femmes

Pause